dimanche 21 septembre 2014

Association des Traineurs de Pousse-Pousse de Cotonou

Henri Kèkè Sodjinou élue président

Les Traineurs de Pousse-Pousse de la ville de Cotonou étaient en Assemblée Générale élective le samedi 13 septembre 2014. Un très grand rassemblement qui a eu pour cadre, le siège du 5ème arrondissement de Cotonou, au quartier Gbèdokpo à Tokpaxoxo. C’était sous la houlette de leur présidente d’honneur, l’honorable Justine Chodaton.
Henri Kèkè Sodjinou, nouveau président de l'Atpc


Devant les autorités en charge de la sécurité, du représentant du DG Sogéma, du ministère de la décentralisation et de l’honorable Justine Chodaton, leur présidente d’honneur, les Traineurs de Pousse-Pousse de la ville de Cotonou, s’étaient massivement déplacés pour élire leur président. Plusieurs fois reportée pour raison de mal compréhension et d’une envie manifeste du président sortant de s’éterniser, cette assemblée générale élective  a pu se tenir, grâce à l’implication majeure de plusieurs autorités au plus haut niveau, mais surtout grâce à Justin Yèhouéssi, qui dans l’ombre constituait la cheville ouvrière, ceci au risque même de sa vie. Après l’arrivée et l’installation des invités de marque, des membres de l’association des Traineurs de Pousse-Pousse de Cotonou (l’Atpc), les activités ont démarré par le mot de bienvenu de Marcel Goussanou, président du comité d’organisation des assises. A sa suite le président sortant Mathias A. Dossa a été invité au pupitre pour présenter le bilan des cinq années de son mandat. Après l’intervention de la présidente d’honneur, Justine Chodaton, le présidium qui devrait conduire l’assemblée générale élective sera installé. Il sera composé des experts d’un cabinet choisi par le comité d’organisation. Ils sont Gauthier Adjaho Juriste et président du présidium,  Jason Otodji, géographe et rapporteur du président et Sandrine Agboton, Assistante des Ressources  Humaines et secrétaire du présidium. Une fois installés, ces derniers donneront lecture des textes devant régir les élections et ceux qui régissent l’Atpc. Ils ont ensuite distribué les mandats aux électeurs avant de lancer le scrutin. Avec la vigilance et la sécurité assurée par les forces de l’ordre de la police spéciale de Tokpa, les deux candidats en lice, Mathias Dossa candidat à sa propre succession et Henri Kèkè Sodjinou, ont choisi chacun une couleur, le 1er  la jaune et le dernier la bleue. Sous la supervision du présidium et des forces de l’ordre, les électeurs ont accompli leur devoir. Avec un total de 153 votants, le suffrage exprimé était de 152 et un bulletin nul, Mathias Dossa, n’a pu réuni que 48 voix contre 104 voix pour Henri Kèkè Sodjinou. C’est donc ce dernier qui est appelé à conduire les destinées de l’Atpc pendant les cinq prochaines années. Après la proclamation des résultats, la présidente d’honneur Ablawa Justine Kakpo épouse Chodaton, donnera quelques conseils au président élu, afin qu’il puisse mener à bon port le navire Atpc.  Henri Kèkè Sodjinou, tout heureux dira qu’il associera toutes les tendances pour qu’il n’y ait pas de frustration pouvant mettre à mal, ses projets et ses nobles ambitions pour des lendemains meilleurs pour l’Association des Traineurs de Pousse-Pousse de Cotonou.


Patrick Hervé YOBODE    

mardi 29 juillet 2014

Journée mondiale de l’hépatite 2014

Le Professeur Nicolas Kodjoh interpelle les consciences sur les tueurs en série

(Le taux de prévalence qui va crescendo au Bénin)

Le lundi 28 juillet 2014, la communauté internationale commémorait la journée mondiale de l’hépatite. Au Bénin, le ministère de la santé s’est joint au Point focal de l’Initiative panafricaine de lutte contre les Hépatites (Ilph), le Professeur Nicolas Kodjoh, pour attirer l’attention de chacun et de tous sur ces dangereuses endémies. Cette édition 2014 qui portait le thème : ‘’l’Hépatite : Réfléchissez-y à nouveau’’, a vu une foule de personnes de toutes les couches sociales et de toutes les classes sociales, venir écouter religieusement l’exposé du Professeur Kodjoh. C’était dans la grande salle polyvalente du Chant d’Oiseau à Cotonou.
Le Pofesseur Nicolas Kodjoh, Point focal ILPH


C’est au détour d’une grande campagne  de sensibilisation sur les Hépatites que le Point focal de l’Ilph, le Professeur Nicolas Kodjoh a célébré la journée mondiale de l’hépatite édition 2014. A travers la présentation et la diffusion de dépliants d’information, d’éducation et de communication (IEC) sur les Hépatites, notamment sur les facteurs de risque et les moyens de prévention ; la présentation et la diffusion de messages pour interpeler la conscience de chaque citoyen pour faire face à ces endémies et une conférence de presse sur le thème : ‘’Les Hépatites en question : de quoi s’agit-il ? Quels sont les modes de contamination ? Comment se protéger ? Et quels traitements ?  Le Professeur Kodjoh, dans ses propos a appelé chacun à réfléchir à nouveau sur ces endémies qualifiées de ‘’Tueurs en série’’.  En effet, le thème hépatite est le nom générique donné aux affections inflammatoires du foie. Bien que de nombreux virus soient capables de léser le foie, l’appellation hépatite virale est réservée aux lésions du foie déterminées par des virus qui présentent un tropisme hépatique dominant, sinon exclusif. Ils sont au nombre de 5 et désignés par les lettres de l’alphabet A, B, C, D et E.  « Parmi ces 5 virus, une attention particulière doit être accordée aux virus B et C », dixit le Professeur Kodjoh.  Et pour cause, l’infection aiguë par ces deux virus peut guérir ou devenir chronique.  Les formes chroniques font la gravité de ces deux maladies parce qu’elles peuvent évoluer insidieusement pendant plus de 20 ans et se compliquer de cirrhose et de cancer primitif du foie, premier cancer de l’homme en Afrique et au Bénin, et d’avoir raison du malade. Au Bénin justement, il existe plusieurs causes des Hépatites, mais elles sont dominées par l’alcoolisme chronique.  Rappelons que les complications de ces deux endémies entrainent le décès prématuré de 15 à 25% des malades, d’où le qualificatif de ‘’Tueurs en série’’. Ceci justifie le fait que plus de 80% des cancers du foie dans le monde sont causés par une infection virale, le virus B (VBH) dans les deux tiers et le virus C(VCH) dans le tiers restant.

Quel est alors le taux de prévalence des Hépatites B et C au Bénin

Si les Hépatites virales B et C viennent en deuxième position des endémies les plus mortelles, dans le monde après le VIH/Sida avec 1.400.000 personnes contre 1.600.000 pour le Sida, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ils évoluent aussi de façon vertigineuse au Bénin. L’Oms estime donc que 2 milliards de personnes ont été infectées dans le monde de l’hépatite B. parmi eux 240 millions ont une infection chronique et risquent d’évoluer vers la cirrhose et le cancer du foie et d’en mourir. Pour l’hépatite C, 150 millions de personnes souffrent d’une infection chronique. Pour déterminer l’ampleur de ces tueurs en série au Bénin, une enquête portant sur les nouveaux donneurs de sang de 2012 a été effectuée dans les 12 départements en septembre 2013. Les résultats montrent des taux de prévalence de 9.9% pour l’hépatite B et 4.12% pour l’hépatite C. ce qui fait au plan national pour les deux fléaux un taux de prévalence de 14.02%.
Départements
Hépatite B
Hépatite C
Hépatites B et C
Atacora-Donga
20.15%
12.42%
32.57%
Atlantique-Littoral
9.08%
4.12%
13.20%
Borgou-Alibori
Données manquantes
Données manquantes
Données manquantes
Mono-Couffo
8.24%
1.45%
9.69%
Ouémé-Plateau
9.45%
3.61%
13.06%
Zou-Collines
9.16%
3.60%
12.76%
Ce taux de prévalence qui dépasse 13% au plan national signifie que plus de 1.300.000 personnes sont atteintes, soit environ 1 béninois sur 8.

Quels sont les modes de contaminations et comment se protéger
Le Présidium à la journée mondiale de l'hépatite

Le virus B se transmet par exposition percutanée ou muqueuse, à du sang infecté ou à d’autres sécrétions biologiques. Le germe est présent à des concentrations élevées dans le sang, le sperme et les sécrétions vaginales, on le trouve aussi dans la salive, les larmes, les sécrétions nasales et les urines. Signalons que c’est un virus têtu, qui peut survivre et rester contaminant dans le milieu extérieur pendant au moins sept jours. Pour ce mode de contamination, le virus B se transmet verticalement de la mère à l’enfant au moment de la naissance, horizontalement à partir d’une personne infectée aux sujets en contact, principalement les enfants, et particulièrement dans la période périnatale, c’est-à-dire dans la première année de vie.  La transmission horizontale surviendrait en cas d’expositions répétées par l’intermédiaire de surfaces et d’objets souillés par les sécrétions biologiques et en présence d’ulcération ou d’abrasion cutanées ou muqueuses.  Ces deux modes de contamination jouent un rôle prépondérant dans la transmission et la propagation de l’hépatite B dans les pays d’endémie élevée comme le Bénin où le taux de prévalence de la mère à l’enfant est de 20%. Sont donc exposés au risque de l’hépatite B, les enfants nés d’une mère contaminée, les personnes vivant au contact de sujets atteints, les sujets ayant des pratiques sexuelles ou des comportements à risque (multipatenariat, polygamie, homosexualité masculine…). Le virus C quand à lui se transmet principalement par exposition au sang, par voie percutanée ou muqueuse : transfusion sanguine, injections avec des aiguilles ou des seringues souillés, usage de drogue par voie intraveineuse, actes entrainant une effraction cutanée (tatouage, piercing, acupuncture, excision, circoncision non médicalisée…). La transmission verticale ou sexuelle du VHC est exceptionnelle. Sont considérées comme personnes à risque et exposées, les personnels de santé, les malades transfusés et hémodialysés, etc.

Existe-t-il une arme contre ces endémies ?

La vaccination est l’arme absolue contre l’hépatite B. elle protège de la maladie et peut permettre d’éradiquer l’hépatite B de la planète Terre. Elle concerne prioritairement les nouveau-nés qu’il faut vacciner dans les 24 heures suivant la naissance, les personnels de santé, les femmes enceintes selon les résultats du dépistage. Contre les deux endémies, il faudra pour se protéger la sensibilisation sur les facteurs de risque et les mesures de prévention au moyen de campagnes d’information, d’éducation et de communication au profit des populations à risque. La sécurisation des produits sanguins, le respect des précautions universelles d’hygiène dans les procédures de soins, l’utilisation d’aiguilles et seringue à usage unique, etc.  Le Bénin doit pouvoir aller à un taux de prévalence de 0% pour les Hépatites B et C et c’est l’idéal que prône le Professeur Nicolas Kodjoh. Pour y arriver, il faudra une prise de conscience de la question des Hépatites à tous les niveaux ce qui doit nous engager à en faire une priorité de santé publique ;  légiférer pour rendre obligatoire d’une part la vaccination systématique des nouveau-nés à la naissance, et d’autre part le dépistage de l’hépatite B chez les femmes enceintes ; agir pour rendre le vaccin accessible et à moindre coût comme au Botswana, au Cap-Vert, en Chine, à Taïwan, en Corée, en Mauritanie, en Gambie et dans les pays du Maghreb. Tous ces pays qui ont fait des progrès probants dans l’éradication de ces endémies. Et l’exemple qui est souvent cité, c’est celui de l’Etat d’Alaska au Etats-Unis qui est passé d’un taux de prévalence de plus de 16% à 0%.
Prof Nicolas Kodjoh

Enfin quels traitements pour les personnes infectées ?

En cas d’hépatite B, le traitement a pour but de contrôler la maladie, de faire régresser les lésions du foie, de mettre le malade à l’abri des complications mortelles (cirrhose et cancer du foie) et d’améliorer la qualité de vie. Il existe toutefois des médicaments appropriés obtenus sur prescription spéciale des spécialistes. Quand à l’hépatite C, elle peut être traitée et guérie. Il existe là aussi des médicaments obtenus sur prescription spéciale.  L’obstacle ici à ces traitements est leurs coûts trop élevés pour l’Etat et les ménages. Il y a donc urgence de donner la priorité à la prévention notamment la prévention de l’hépatite B qui génère plus des deux tiers des cirrhoses et cancers de foie dans le monde en général et au Bénin en particulier.


Patrick Hervé YOBODE

jeudi 12 juin 2014

Santé+ Magazine/COMMENT SURVIVRE A UNE CRISE CARDAQUE



COMMENT SURVIVRE A UNE CRISE CARDAQUE LORSQU'ON EST TOUT SEUL ?



Disons qu'il est 18:15 et vous rentrez chez vous (seul bien sûr) après une journée de travail particulièrement difficile. Vous êtes vraiment fatigué, énervé et frustré. Vous commencez soudainement à ressentir une forte douleur à la poitrine qui s'étend à votre bras et vers votre mâchoire. Vous êtes à peu près à 8 km de l'hôpital le plus proche. Malheureusement vous ne savez pas si vous arriverez à aller jusque là. On vous formé au massage cardiaque, mais le formateur ne vous a bien sûr pas montré comment le faire sur soi-même...!!
 
Un malade atteint d'un ACV

ALORS COMMENT SURIVRE A UNE CRISE CARDIAQUE QUAND ON EST SEUL
Comme beaucoup de personnes sont seules lorsqu'elles souffrent de crise cardiaque, sans aide, la personne dont le cœur bat de manière anormale et qui commence à s'évanouir, a seulement 10 avant de perdre conscience. Malgré tout, ces victimes peuvent se secourir elles-mêmes en toussant de manière répétée et très vigoureusement. Une profonde inspiration doit être prise avant chaque toux, et la toux doit être intense et longue, comme si vous faisiez un gros crachat depuis le bas de votre poitrine. Une inspiration et une toux doivent être alternée toutes les 2 secondes sans arrêt jusqu'à ce que de l'aide arrive, ou jusqu'à ce que l'on sent que le cœur a repris un battement normal. De profondes inspirations apportent l'oxygène aux poumons et les mouvements du toussotement masse le cœur et continue à faire circuler le sang.Les mouvements de toussotement sur le cœur  contribuent aussi à ce qu'il reprenne un rythme normal. De cette manière, les victimes de crises cardiaques peuvent arriver à l'hôpital.

dimanche 1 juin 2014

3ème édition du Festival francophone de la Poésie des jeunes

Les concurrents appelés à réfléchir sur la déforestation et le réchauffement climatique

L’Association African Association for the arts and culture (Afraac) emmenée par Etienne Arèmon, vient de procéder au lancement officiel de la 3ème édition du festival francophone de la poésie des jeunes au Bénin.  Une initiative qui vise à placer la jeunesse au cœur de la littérature, des grands enjeux de notre époque et qui cette année se déroule autour d’un thème évocateur.  C’était le samedi dernier à la salle polyvalente du Centre culturel chinois.
Etienne Arèmon, Promoteur du FFPJ

La poésie est le jardin des mots et des maux et ça tous les poètes le savent très bien.  C’est ce qu’expérimenteront les jeunes qui ambitionnent de devenir poètes sur le thème : « Le monde merveilleux de la faune et de la flore ». C’est donc la 3ème édition du festival francophone de la poésie des jeunes  au Bénin, qui prend son envol. La cérémonie de lancement officiel a eu lieu devant un parterre de personnalités dont entre autres : le directeur du Centre culturel chinois, le directeur de l’Agence béninoise de l’environnement, des cadres de la Dpac, du président de l’Association des artistes de la musique traditionnelle du Bénin, Hounti Kiki et de Anne-Marie O. Hounnougan, directrice nationale de la promotion du livre et de la lecture, représente le ministre Abimbola. Le 5ème art souffrant au Bénin d’un cadre réel de mise en valeur et qui est à la traine malgré les efforts de certains poètes, il était urge de trouver des voies et moyens pour faire sa promotion. C’est en répondant à cela que l’Association Afraac a initié le festival francophone de la poésie des jeunes.  Contribuer au développement, à la promotion de l’art poétique au Bénin et à l’enrichissement du patrimoine littéraire béninois ; contribuer au développement et à l’amélioration des capacités rédactionnelles des jeunes en matière de poésie ; développer la réflexion sur des sujets précis, contribuer par l’art et la culture à la construction et au développement du Bénin. Voilà quelques uns des objectifs que poursuit l’Afraac.  Cette initiative qui s’inscrit dans le cadre de la redéfinition du développement de la culture littéraire et de l’éducation à la base, vise essentiellement les jeunes des collèges, lycées et universités. Prévu pour se dérouler sur 6 mois, le jury présélectionnera 96 lauréats dont 2 par département, par volet et par catégorie. Ces œuvres présélectionnées seront exposées et les auteurs bénéficieront d’un atelier d’écriture et de renforcement de capacités qui durera 7 jours. Le jury, fera encore un dernier trie pour retenir sur les 96, les 12 meilleurs, soit 3 par volet et par catégorie. Ce sont ces 12 qui recevront lors de la soirée de délibération le Prix national de l’Excellence poétique à la base (NEPOB). Un ouvrage collectif sera édité à partir des meilleurs œuvres des lauréats et sera lancé au cours de la soirée de reconnaissance des partenaires du festival.


Patrick Hervé YOBODE 

jeudi 29 mai 2014

La plante qui combat le Cancer et dont personne ne parle.

La plante qui combat le Cancer et dont personne ne parle.


L'arbre Graviola vient des profondeurs de la forêt amazonienne. Des recherches en laboratoire ont montré que des extraits de cette plante miraculeuse peut lutter contre le cancer avec un traitement entièrement naturel qui ne provoque ni nausées, ni perte de poids et ni perte de cheveux, de protéger le système immunitaire et d'éviter les infections mortelles, les personnes se sentent plus forts et plus sains tout au long du traitement, plus d'énergie et améliore la vision de la vie.

Sur internet il suffit de taper «antibiotiques naturels» et immédiatement une avalanche de résultats indiquant : " La Graviola fonctionne à merveille, est une plante qui pourrait nous sauver du cancer"

Graviola est un petit arbre typique des régions tropicales chaudes caractérisées par de grandes feuilles vertes et des fruits comestibles jaune-vert, vendus sur les marchés d'Amérique du Sud sous le nom de Guanabana et utilisé dans la préparation de certaines boissons.

Les résultats ont permis d'identifier les ingrédients actifs spécifiques appelées Annonaceae acétogénines, les protagonistes des propriétés biologiques de cette plante.

Les résultats encourageants observés dans un court laps de temps a conduit à une expérimentation en plein essor qui compte aujourd'hui plus de 600 études avec d'excellents résultats et qui, malheureusement, n'a pas été accompagnée par une utilisation tout aussi valable dans un cadre cliniquement possible.

Le fruit ressemble à une fragolone vert et sa saveur est agréable. C'est un fruit naturel et sans effets secondaires. Cette plante a de nombreux avantages anti-cancer. C'est également un agent antimicrobien, contre les infections, les infections bactériennes et fongiques, abaisse la pression artérielle, il est utilisé pour les troubles de la dépression, le stress et nervosité

Depuis 1976, Graviola s'est avéré être un tueur de cancer extrêmement puissant dans 20 tests de laboratoires indépendants. Une étude publiée dans le Journal of Natural Products, suite à une enquête similaire menée par l'Université catholique de Corée du Sud a déclaré que Graviola peut tuer sélectivement les cellules cancéreuses du côlon avec une capacité supérieure à 10.000 médicamenst de chimiothérapie couramment utilisé comme l'Adriamycine.

Le rapport de l'Université catholique de Corée du Sud a déclaré que Graviola pouvait cibler sélectivement les cellules cancéreuses, laissant intactes les cellules saines, contrairement à la chimiothérapie, qui visent indistinctement toutes les cellules qui se reproduisent activement et provoque des effets secondaires souvent dévastateurs, des nausées et perte de cheveux chez les patients cancéreux.

Une étude menée à l'Université de Purdue à Lafayette (États-Unis) a récemment découvert que les feuilles de l'arbre Graviola tuer les cellules cancéreuses chez six lignées cellulaires humaines et sont particulièrement efficaces contre les cancers de la prostate, du pancréas et du poumon. Le corossol (son nom en anglais), connu en Italie comme le fruit de Graviola est donc un remède miracle (et naturel) pour éradiquer les cellules cancéreuses, 10.000 fois plus puissant que la chimiothérapie.

Les tests de laboratoire effectués depuis 1970 ont montré son efficacité, et tuer les cellules malignes dans 12 types de cancer, y compris le côlon, du sein, de la prostate, du poumon et du pancréas, et est jusqu'à 10.000 fois plus forte en ralentissant la croissance des cellules cancéreuses par rapport à «l'Adriamycine, un médicament de chimiothérapie couramment utilisé dans le traitement du cancer. Contrairement à la chimiothérapie, le composé extrait de «l'arbre Graviola seulement tue les cellules cancéreuses sans nuire aux cellules saines.

Une importante société pharmaceutique américaine a alors investi près de sept ans à essayer de synthétiser deux des ingrédients anti-cancer Graviola. Mais il n'a pas été possible de synthétiser en aucune façon les ingrédients actifs de Graviola contre le cancer. L'original tout simplement n'a pas pu être reproduit. Il n'y avait aucune façon dont la société pharmaceutique en question avait été en mesure de protéger leurs propres intérêts, et récupérer l'argent investi dans la recherche. Cette société pharmaceutique a abandonnée le projet et a alors décidée de ne pas publier les résultats de ses recherches

Le National Cancer Institute a effectué la première recherche scientifique en 1976. Les résultats ont montré que les feuilles et les tiges de Graviola se sont révélés efficaces pour attaquer et détruire les cellules malignes. Inexplicablement, les résultats ont été publiés dans un rapport interne, mais jamais rendus publics.

samedi 8 mars 2014

Alerte : Plus meurtrier que le sida

 Des scientifiques découvrent une nouvelle MST qui tue en quelques jours

africelebb
Il s’agit d’un nouveau super bactérie sexuellement transmissible que les experts disent peut-être plus mortelle que le sida. Selon un rapport de CNBC, une souche résistante aux antibiotiques de la gonorrhée est plus agressive que le virus VIH, ce qui signifie le risque potentiel d’infecter le public sera plus grand. Comme la plupart des MST, la gonorrhée se transmet généralement par contact sexuel non protégé et si elle n’est pas traitée, peut entraîner des complications médicales graves, comme l’infertilité chez les femmes, la douleur débilitante, la stérilité chez les hommes et les infections cardiaques mortelles. Alan Christianson, un médecin de la médecine naturopathique, pense que cette nouvelle souche a  le pouvoir d’accumuler plus de décès que le sida. À ce jour, plus de 30 millions de personnes sont déjà mortes dans le monde de complications liées au sida. <<Obtenir la gonorrhée à partir de cette souche pourrait mettre quelqu’un en état de choc septique et la mort en quelques jours >>, a déclaré Christianson. « C’est très dangereux». William Smith, directeur exécutif de la Coalition nationale des directeurs des MTS, fait écho à ce sentiment. «C’est une situation d’urgence. Comme le temps passe, il devient de plus en plus dangereux », a déclaré Smith. Selon les Centres de contrôle des maladies, si aucun cas de la super bactérie officiellement appelé H041 ont été trouvés dans les États-Unis, des mesures doivent être prises pour faire face aux risques potentiels. La gonorrhée peut passer inaperçue dans certains touchés par la maladie, ne montrant aucun symptôme extérieur dont environ la moitié des femmes et 5 pour cent des hommes, ce qui ajoute un autre niveau de difficulté à obtenir en avant de lui. Cette souche de MST qui est résistante à l’antibiotique, aurait tué la moitié de ceux exposés et infecté un patient sur 20 qui  soulèvent la menace d’une épidémie dans les hôpitaux aux niveaux d’urgence. Ensuite, il ya le coût élevé de la lutte contre les maladies sexuellement transmissibles en général. Le décompte de la CDC pour traiter 20 millions de cas chaque année est d’environ 16 milliards de dollars. De ce que 20 millions de cas de MST, un rapport fait état de 800 000 âgés de 15 à 24 ans , sont infectés par la gonorrhée . Encore plus alarmant, certains médecins pensent que la guerre contre les MST est trop coûteuse à gagner.
Afripeople nous sommes tous prévenus la…alors à chacun sa mesure de protection!!
source: http://www.cnbc.com/