jeudi 12 juin 2014

Santé+ Magazine/COMMENT SURVIVRE A UNE CRISE CARDAQUE



COMMENT SURVIVRE A UNE CRISE CARDAQUE LORSQU'ON EST TOUT SEUL ?



Disons qu'il est 18:15 et vous rentrez chez vous (seul bien sûr) après une journée de travail particulièrement difficile. Vous êtes vraiment fatigué, énervé et frustré. Vous commencez soudainement à ressentir une forte douleur à la poitrine qui s'étend à votre bras et vers votre mâchoire. Vous êtes à peu près à 8 km de l'hôpital le plus proche. Malheureusement vous ne savez pas si vous arriverez à aller jusque là. On vous formé au massage cardiaque, mais le formateur ne vous a bien sûr pas montré comment le faire sur soi-même...!!
 
Un malade atteint d'un ACV

ALORS COMMENT SURIVRE A UNE CRISE CARDIAQUE QUAND ON EST SEUL
Comme beaucoup de personnes sont seules lorsqu'elles souffrent de crise cardiaque, sans aide, la personne dont le cœur bat de manière anormale et qui commence à s'évanouir, a seulement 10 avant de perdre conscience. Malgré tout, ces victimes peuvent se secourir elles-mêmes en toussant de manière répétée et très vigoureusement. Une profonde inspiration doit être prise avant chaque toux, et la toux doit être intense et longue, comme si vous faisiez un gros crachat depuis le bas de votre poitrine. Une inspiration et une toux doivent être alternée toutes les 2 secondes sans arrêt jusqu'à ce que de l'aide arrive, ou jusqu'à ce que l'on sent que le cœur a repris un battement normal. De profondes inspirations apportent l'oxygène aux poumons et les mouvements du toussotement masse le cœur et continue à faire circuler le sang.Les mouvements de toussotement sur le cœur  contribuent aussi à ce qu'il reprenne un rythme normal. De cette manière, les victimes de crises cardiaques peuvent arriver à l'hôpital.

dimanche 1 juin 2014

3ème édition du Festival francophone de la Poésie des jeunes

Les concurrents appelés à réfléchir sur la déforestation et le réchauffement climatique

L’Association African Association for the arts and culture (Afraac) emmenée par Etienne Arèmon, vient de procéder au lancement officiel de la 3ème édition du festival francophone de la poésie des jeunes au Bénin.  Une initiative qui vise à placer la jeunesse au cœur de la littérature, des grands enjeux de notre époque et qui cette année se déroule autour d’un thème évocateur.  C’était le samedi dernier à la salle polyvalente du Centre culturel chinois.
Etienne Arèmon, Promoteur du FFPJ

La poésie est le jardin des mots et des maux et ça tous les poètes le savent très bien.  C’est ce qu’expérimenteront les jeunes qui ambitionnent de devenir poètes sur le thème : « Le monde merveilleux de la faune et de la flore ». C’est donc la 3ème édition du festival francophone de la poésie des jeunes  au Bénin, qui prend son envol. La cérémonie de lancement officiel a eu lieu devant un parterre de personnalités dont entre autres : le directeur du Centre culturel chinois, le directeur de l’Agence béninoise de l’environnement, des cadres de la Dpac, du président de l’Association des artistes de la musique traditionnelle du Bénin, Hounti Kiki et de Anne-Marie O. Hounnougan, directrice nationale de la promotion du livre et de la lecture, représente le ministre Abimbola. Le 5ème art souffrant au Bénin d’un cadre réel de mise en valeur et qui est à la traine malgré les efforts de certains poètes, il était urge de trouver des voies et moyens pour faire sa promotion. C’est en répondant à cela que l’Association Afraac a initié le festival francophone de la poésie des jeunes.  Contribuer au développement, à la promotion de l’art poétique au Bénin et à l’enrichissement du patrimoine littéraire béninois ; contribuer au développement et à l’amélioration des capacités rédactionnelles des jeunes en matière de poésie ; développer la réflexion sur des sujets précis, contribuer par l’art et la culture à la construction et au développement du Bénin. Voilà quelques uns des objectifs que poursuit l’Afraac.  Cette initiative qui s’inscrit dans le cadre de la redéfinition du développement de la culture littéraire et de l’éducation à la base, vise essentiellement les jeunes des collèges, lycées et universités. Prévu pour se dérouler sur 6 mois, le jury présélectionnera 96 lauréats dont 2 par département, par volet et par catégorie. Ces œuvres présélectionnées seront exposées et les auteurs bénéficieront d’un atelier d’écriture et de renforcement de capacités qui durera 7 jours. Le jury, fera encore un dernier trie pour retenir sur les 96, les 12 meilleurs, soit 3 par volet et par catégorie. Ce sont ces 12 qui recevront lors de la soirée de délibération le Prix national de l’Excellence poétique à la base (NEPOB). Un ouvrage collectif sera édité à partir des meilleurs œuvres des lauréats et sera lancé au cours de la soirée de reconnaissance des partenaires du festival.


Patrick Hervé YOBODE